04 juillet 2006

 

Fabraël, homme de défis: Plumes 3

Après ça, on a mangé un morceau, bu quelques bières, et on est parti vers la première activité de l'après-midi: l'akrobranch'.
J'en ai profité pour faire jouer un fois de plus mon magnétisme:

Cette coquine m'a chauffé, j'avais les tétons tout durs, j'en ai profité pour sortir mon arme fatale: le sourire Jean-Claude Dusse.
Allez, encore deux à la casserole, oui, mon Fabraël, t'es vraiment le meilleur...

Bon , là, j'avoue, j'ai eu un petit coup de mou. J'ai hésité longtemps avant de lui proposer la Plume, mais elle m'a mis un rateau. J'étais comme KO, après le double rateau du matin. Je mesuis assis par terre et j'ai pleuré (c'est une ruse: les filles craquent pour mon coté sensible...). Eh bien, j'ai retenté ma chance, et re-rateau!!

Je suis sûr que c'était une goudoue, c'est pas possible autrement. J'ai quand même compris à ce moment là que j'avais besoin d'un peu de repos, j'avais trop libéré de Mojo depuis le matin. Mais le timing était réglé comme un coucou à musique, ou du papier suisse, je sais plus trop: pas le temps, et vamos a las branchas (je parle le mexicain couramment, je vous ai pas dit?)



Comments:
Ouais, sauf que là après la pêche à la truite dressée pour sauter dans la casserolle, tu t'es attaquer à la pêche au gros. Et avec ton ameçon Fabraëlien, tu n'as ramené qu'un thon. D'un autre côté, il n'y en avait pas beaucoup, mais tu nous les as tous sorti, avec une belle photo de chaque prise.
 
Si t'as des problèmes de montre suisse surtout t'hésites pas.
C'est quand même moi l'inveteur de la montre à 120 secondes la minutes

Clock man
 
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